Du 19 au 22 juillet, Konstantin Komarov était de retour à l’ADDAM pour un séminaire portant sur l’interne, la santé, les perceptions et le contrôle de la psychée. Ce séminaire s’est déroulé dans des conditions exceptionnelles puisque nous étions moins de trente pendant 4 jours avec Konstantin. Des pratiquants de Bretagne, de Suisse, de Belgique, de Paris, de la Rochelle sont venus en plus des habituels groupe qui viennent régulièrement. De plus, c’est un pratiquant de l’ADDAM qui a assuré la traduction, nous n’en sommes pas peu fiers!

Au cours de ces quatre jours, il a déroulé sa progression sur l’interne. Au cours du stage, il a ramifié cette façon de travailler aux autres sujets du stages. Pourquoi? Parce qu’en fait, en travaillant ainsi, les autres sujets n’étaient que des applications du travail interne.

Qu’est-ce que le travail interne? Konstantin a fait l’effort d’essayer de le définir (les autres n’essaient même pas tellement la question est complexe). Pour cela il a utilisé des comparaisons et en particulier, il a expliqué que le systema en est à sa troisième évolution.

La première évolution du systema concernait le corps. C’est le systema Vasiliev, fortement axé mécanique fine du corps. Ensuite la deuxième évolution est celle provoquée par l’influence de Ryabko sur le travail de Vasiliev. La méthode de Komarov ​est basée là dessus. C’est une façon de construire le corps différente et qui permet d’aller impacter la psychée qui est au centre du travail. Enfin, la troisième évolution se base sur la construction de la seconde mais varie par le fait que maintenant, c’est la conscience même qui crée le mouvement. Dans les trois cas, même si extérieurement ça peut ressembler (surtout le deuxième et troisième), la génération de force est totalement différente. Konstantin a ainsi dit que chaque évolution implique de totalement changer la méthode. Il a donc commencer à travailler sur une méthode pour cette nouvelle phase, méthode qu’il nous a présentée. Au sortir de ces quatre jours, je dirais que le travail interne est une expression de la conscience par le corps. Et c’est une pratique épuisante pour le système nerveux.

Du 19 au 22 juillet, Konstantin Komarov était de retour à l’ADDAM pour un séminaire portant sur l’interne, la santé, les perceptions et le contrôle de la psychée. Ce séminaire s’est déroulé dans des conditions exceptionnelles puisque nous étions moins de trente pendant 4 jours avec Konstantin. Des pratiquants de Bretagne, de Suisse, de Belgique, de Paris, de la Rochelle sont venus en plus des habituels groupe qui viennent régulièrement. De plus, c’est un pratiquant de l’ADDAM qui a assuré la traduction, nous n’en sommes pas peu fiers!

Au cours de ces quatre jours, il a déroulé sa progression sur l’interne. Au cours du stage, il a ramifié cette façon de travailler aux autres sujets du stages. Pourquoi? Parce qu’en fait, en travaillant ainsi, les autres sujets n’étaient que des applications du travail interne.

Qu’est-ce que le travail interne? Konstantin a fait l’effort d’essayer de le définir (les autres n’essaient même pas tellement la question est complexe). Pour cela il a utilisé des comparaisons et en particulier, il a expliqué que le systema en est à sa troisième évolution.

La première évolution du systema concernait le corps. C’est le systema Vasiliev, fortement axé mécanique fine du corps. Ensuite la deuxième évolution est celle provoquée par l’influence de Ryabko sur le travail de Vasiliev. La méthode de Komarov ​est basée là dessus. C’est une façon de construire le corps différente et qui permet d’aller impacter la psychée qui est au centre du travail. Enfin, la troisième évolution se base sur la construction de la seconde mais varie par le fait que maintenant, c’est la conscience même qui crée le mouvement. Dans les trois cas, même si extérieurement ça peut ressembler (surtout le deuxième et troisième), la génération de force est totalement différente. Konstantin a ainsi dit que chaque évolution implique de totalement changer la méthode. Il a donc commencer à travailler sur une méthode pour cette nouvelle phase, méthode qu’il nous a présentée. Au sortir de ces quatre jours, je dirais que le travail interne est une expression de la conscience par le corps. Et c’est une pratique épuisante pour le système nerveux.